Vidéo aérienne du golf Gilles de Boisgelin – Bretagne
VIDEO
Dans le parc du château, notre vidéo du golf Gilles de Boisgelin.
Parcours du golf Gilles de Boisgelin – Visite à la noblesse bretonne
Non loin de Paimpol, fief des Terre-Neuvas, l’héritage n’est pas en vain mot pour ce domaine de la noblesse bretonne. Toujours propriété de la famille de Boisgelin depuis plusieurs générations, c’est le prénommé Gilles qui, dans les années 1980, s’est penché sur une table d’architecte pour donner une nouvelle vie aux 90 hectares forêts et terres agricoles.
Le petit château – dont la dernière signature date du XIXè siècle sur les fondations d’un manoir du XVe siècle – surplombe 12 trous qui serpentent entre le vaste étang, les vieux arbres et le beau potager où les communs ont été valorisés en gîtes. L’atmosphère familiale, qui permit la création de cette étape golfique, est entretenue par les joueurs veillant aux blasons de la convivialité.
Infos pratiques
Création : 1986
GPS
Green-fee : à partir de 26 €
12 trous
w 03°01’22’’
Voiturette : 20 €
2.412 m, par 33
N 48°41’02’’
Ouvert toute l’année
Adresse : Château-Hôtel de Boisgelin, 22290 Pléhédel
Mets et logis
Restaurants
Mathieu Kergoulay
Après avoir été à très bonne école dans les cuisines de grands établissements, le jeune chef Mathieu Kergoulay a ouvert l’an passé une belle table dans le château de Boisgelin. Au menu, des plats subtils avec des produits nobles du pays comme le Saint-Pierre ou le pigeonneau.
Tarif : menu à partir de 36,50 €
Adresse : domaine de Boisgelin, 22290 Pléhédel
Téléphone : 02.96.22.37.67
Site Internet : mathieu-kergourlay.com
Le Bistrot de Tonton Guy
Là où le site (l’effervescent port de Paimpol) peut prêter à d’inévitables chausse-trappes touristiques, le Bistrot de Tonton Guy – avec sa terrasse sur le quai – ne se moque pas du voyageur. Les vieilles recettes familiales sont toujours à l’honneur et l’assiette fort bien garnie.
Tarif : menu à partir de 24 €
Adresse : 21 quai Morand, 22500 Paimpol
Téléphone : 02.96.20.40.01.
Site Internet : restaurant/chez-tonton-guy
Hôtels
Domaine de Boisgelin
Marine Kergoulay, diplômée des Beaux-Arts, a restauré l’intérieur du château de Boisgelin en proposant 14 chambres raffinées mêlant mobilier ancien avec des éléments plus modernes. Une déco sur ton bleu et beige en harmonie avec le bois et les moulures.
Tarif : chambre à partir de 69 €
Adresse : domaine de Boisgelin, 22290 Pléhédel
Téléphone : 02.96.22.37.67
Site Internet : mathieu-kergourlay.com
Ker Moor
Niché à flanc de falaise, offert aux embruns, l’établissement 4* offre une vue panoramique sur la baie de Saint-Brieuc et de Paimpol. Plusieurs chambres disposent d’une terrasse privée avec un balcon sur la mer.
Tarifs : chambre à partir de 80 €
Adresse : 13 rue du Président Le Sénécal, 22410 Saint-Quai-Portrieux
Téléphone : 02.96.70.52.22
Site Internet : ker-moor.com
Incontournables
Abbaye de Beauport
Les ordres religieux ont (très souvent) su choisir des sites remarquables prêtant à la méditation. Cela se vérifie immédiatement en franchissant la porte de l’abbaye de Beauport. Dès le XIIIè siècle, l’unique fondation bretonne de l’ordre de Prémonté joua un rôle spirituel et économique prépondérant sur la région. De l’agriculture à la pêche (le domaine disposait d’un port), Beauport avait une influence considérable que reflète la solidité des bâtiments toujours sur pied. De l’église au réfectoire, le chemin passe par une relation étroite entre l’homme et la nature.
Tarif : entrée 6 €
Adresse : rue de Beauport, 22500 Paimpol
Téléphone : 02.96.55.18.58
Site Internet : abbayebeauport.com
Musée d’Art et d’Histoire de Saint-Brieuc
Etudier la diversité et l’évolution des cultures rurales ou urbaines, comprendre la vie et le patrimoine costarmoricain depuis les plus lointains ancêtres, tel est l’objectif de ce riche musée qui parcours la vaste baie de Saint-Brieuc, les traditions de la Lande, les métiers d’autrefois. Depuis l’an passé, l’important fonds photographique est particulièrement valorisée. On profite ainsi de 200 ans d’images avec, notamment, les clichés de Lucien Bailly, témoignages rares d’une région remarquable. Des expositions temporaires sont régulièrement proposées.
Tarifs : entrée libre
Adresse : rue des Lycéens-Martyrs, 22000 Saint-Brieuc
Téléphone : 02.96.62.55.20
Site Internet : musee-dart-et-dhistoire
Denis Lebouvier
Hors limites
Circuit depuis 22580 Plouha – 10 km à partir du golf Gilles de Boisgelin
Le réseau Shelburn dans la légende de la Résistance
A l’automne 1943, Oaktree est un bel et bien échec : le réseau d’évasion de pilotes alliés, par voie de mer, entre Guingamp et Saint-Brieuc, réclamé par l’Intelligence Service, n’a réussi aucune opération et, pire encore, est décimé par la trahison d’un des siens. Le chef d’Oaktree, Val William, tombé aux mains de la Gestapo, est détenu à la prison de Rennes. Seul son radio, Raymond Labrosse, a pu échapper au coup de filet. Il se résout à passer par les Pyrénées et Gibraltar et rejoint Londres par cette interminable route.
Mais à Saint-Quay-Portrieux, Plouha, Plouézec, Pludual, des fugitifs s’entassent encore dans des planques : la situation devient périlleuse pour tous. Val William, qui a réussi à s’évader en décembre, est complètement « brûlé ». Caché chez Françoise Montjarret, il faut de toute urgence le transférer à Londres.
La Résistance est un tout petit monde et les règles du cloisonnement ne peuvent, dans les faits, être respectées. Tout le monde, c’est-à-dire presque personne, fait tout. Dans la zone interdite, à Plouézec, le docteur André le Balc’h, ancien hébergeur du radio d’Oaktree, a, comme résident, le précieux ausweiss. Autorisé à circuler sur la côte et dans les villages, il organise les contacts entre les uns et les autres. A Pludual, l’instituteur Adolphe le Trocquier connaît toutes les familles de Plouha : les Calvez, Le Sommier, Lesné, Couffon, Montjarret, Le Saux, Tréhioux, Ropers, Gicquel… Responsable du Front National, il peut compter sur les membres rattachés au réseau communiste; au café de François Le Cornec, le garagiste Jean Le Lyonnais avait organisé l’évacuation de deux Canadiens en 1942.
Tous sont du pays. Pour les marins Pierre Huet, Job Menguy, Jean Gicquel, les moindres recoins de ce littoral déchiqueté, les courants, la profondeur des eaux n’ont aucun secret. » La bande à Sidonie », implantée à Lanvallon dès septembre 1940, fut en Côtes-d’Armor (alors Côtes-du-Nord) un relai des premiers réseaux d’évasion. En ce terrible hiver 1943-1944, les résistants de Plouha et de Saint-Quay-Portrieux, réchappés de la Gestapo, espèrent : un jour, bientôt, le Débarquement… Pour les alliés, pas un aviateur, pas un officier ne doit croupir, traqués et inutiles, quelque part en France occupée. Ils sont précieux ; les formations sont longues et coûtent cher. Or, tout manque et le temps presse.
A Londres, le Canadien Lucien Dumais et son compatriote Raymond Labrosse y croient : on peut remonter une ligne d’évasion maritime avec les Bretons. Leur plan de la côte est très détaillé. » Sous Kéruzeau », une falaise éboulée protège l’émission des signaux lumineux et masque aussi, au blockhaus de la Pointe de la Tour, le côté nord de l’anse Cochat. L’accès à la plage par la falaise reste dangereux. Mais la maison des époux Gicquel n’est qu’à un kilomètre : c’est de là que partirait le convoi candidat à l’embarquement. L’Intelligence Service et l’Amirauté se laissent convaincre. Noms de code : Shelburn, plage Bonaparte .
Dumais et Labrosse regagnent Paris et contactent l’avocat Campinchini, ancien des filières Comète et Pat O’Leary. Les contacts avec Plouha renoués, les trois résistants mettent alors sur pied l’organisation des « traversiers de la Manche » : récupérer les pilotes, convoyer dans Paris, planquer, nourrir, accompagner à Saint-Brieuc, remettre, héberger, ravitailler, faire tenir tranquille, escorter, embarquer de nuit sur les chaloupes de la Royal Navy, chaloupes qu’une corvette bientôt surnommée « l’autobus de la Manche ». S’éloignant dans la nuit, il met le cap sur Dartmouth, les précieux « colis » à son bord, enfin exfiltrés.
En janvier 1944, Dumais alerte Londres : Shelburn est opérationnel. Les premiers « convoyeurs » guident des groupes de deux ou trois aviateurs jusqu’à la gare Montparnasse et tous s’embarquent dans le train de Saint-Brieuc. Arrivée très matinale à 4h30. Là, Henri Le Blais organise la première réception. Reconnus par un simple détail vestimentaire, les fugitifs sont conduits jusqu’à leurs hébergements. Ils patientent jusqu’en fin d’après-midi : départ pour Plouha à 17h.
Des jeunes filles aux insignes de l’Office des céréales – Le Blais y travaille – veillent : le petit train des Côtes-du-Nord est bondé et s’arrête dans les trente-deux gares. Aucune parole ne doit être échangée ; il faut se faire le plus discret possible. A Plouha, les « convoyeurs » bretons, François Le Cornec, Pierre Huet, Jean Tréhiou, Jean Gicquel, Marie-Thérèse Le Calvez, Francis Le Saux relayent les « paquets » jusqu’aux sept « hébergeurs » dont aucun n’a de jeunes enfants. Une bonne trentaine de Plouhatins œuvrera ainsi à la mise à l’abri de 135 pilotes alliés et 15 clandestins.
Val William, le chef malheureux d’Oaktree, est prioritaire. Le vendredi 28 janvier, avec 21 compagnons, il est évacué lors de la première mission Bonaparte. Les deux suivantes, très importantes, exfiltrent 30 puis 26 « colis ». Shelburn mènera à bien toutes ses missions jusqu’au 8 août 1944. Aucune indiscrétion,aucune trahison, aucune arrestation, aucun mort, aucun blessé : une performance exceptionnelle.
Pour organiser les évacuations, Raymond Labrosse le « pianiste » (radio) émet d’une chambre au hameau de Pléguien : il lui faut contacter Londres à tout prix. Le trafic en morse, chiffré, est relativement aisé sur ces côtes du Finistère, mais l’action, éminemment dangereuse : l’ennemi détecte les lieux de transmission par triangulation goniométrique. L’échange ne doit pas excéder dix minutes, il faut varier les sites d’émission.
A 19h30 puis 21h15, les oreilles se tendent. On retient son souffle en écoutant les ondes brouillées des « messages personnels » de Radio Londres : « Les vins vieux sont les meilleurs » annule définitivement l’expédition ; « Yvonne pense souvent à l’heureuse occasion » ajourne le départ du soir ; « Bonjour à tous dans la maison d’Alphonse » confirme le ralliement général des agents et évadés chez les Giquel. André Le Balc’h inspecte dès lors les alentours de l’anse Cochet, à bord de son automobile sous prétexte de visites à ses patients. Labrosse, « étudiant en médecine », l’accompagne souvent : dans la mallette du docteur, un poste-émetteur…
Mais en février, le maréchal Rommel inspecte le littoral manchot, préoccupé d’un débarquement possible en Normandie. Il ordonne la défense accrue des côtes du Finistère nord, de la Manche et du Calvados. Les falaises de Plouha sont minées. La ligne Paimpol-Saint-Brieuc, entièrement dévolue aux transports d’ouvriers et des matériels de chantier contraint Shelburn à reprendre toute sa logistique.
C’est à Brest et de Brest que devront être acheminés vers Plouha le second groupe d’évadés en sursis, par les gares de Guingamp et de Chatelaudren-Plouagat. Contacts sont pris avec les groupes locaux de nombreux mouvements et réseaux. La réorganisation, finalement rapide, est toujours aussi prudente et discrète. Dumais n’admet aucun bavard, aucun vantard dans son réseau, ce qui est sans nul doute la cause première de sa stupéfiante réussite.
La nuit tombée, plus tardive en été, les « convoyeurs » guident les pilotes vers « la maison d’Alphonse ». Pas de cigarette, silence complet. On transporte aussi de lourdes valises de courrier. Il faut escalader des talus, traverser des ruisseaux. La route de Paimpol à Saint-Brieuc est difficile à traverser : convois et patrouilles allemandes se croisent et se recroisent. Sur le bitume, on hâte le pas, scrutant la moindre lueur de phare.
Enfin, la maison des Gicquel ! Les fenêtres sont soigneusement calfeutrées. Jean et Marie entrouvrent la porte, tout le monde rentre…et reçoit un savon. Toujours le même cérémonial : pour Dumais, qui apostrophe ces jeunes aviateurs, souvent très inconscients du danger, aucun mot n’est assez fort. François Le Cornec, chef de la Résistance à Plouha, observe en silence. Tous jouent leur peau. Pour s’en sortir et ne pas livrer le réseau à la Gestapo, les règles de la progression sont strictes : on avance par deux ou trois, on suit son guide en file indienne, on laisse une distance de trois cents mètres entre les groupes. Le chemin traverse un champ de mines : on se maîtrise, on se tait. Sur la falaise, on retient par la veste celui qui précède : la pente est très raide sur soixante-dix mètres, et c’est la nuit. Il faut la descendre sur les fesses, bien se caler au sol.
Le gendarme Dagorne a repéré le passage de la dernière patrouille. On sort, chacun dans son groupe. Pierre Huet mènera la longue colonne. Les Gicquel quittent leur domicile : par mesure de sécurité, ils passent la nuit chez les Huet. La maison reste vide.
Dans une grotte de l’anse Cochat, on se tasse. Job Mainguy, qui depuis des heures fait le guet, avec sa lampe bleutée, émet enfin le signal à la corvette britannique : B, comme Bonaparte, en morse. « L’autobus des mers » a bien reçu. Les canots sont largués; les rames entourées de chiffons font un son étouffé. Sur la plage, selon la marée, la distance est plus au moins longue à franchir. Les chaloupes sont là ! Vite, on saute dedans, on se passe les lourdes valises, on se lance les ballots de munitions, de vivres fournis par Londres… Brefs gestes d’adieux. Les Bretons, rebroussent chemin, hissent leurs charges, font la rude montée. Le champ de mines. La route. Le sentier. Les convoyeurs disparaissent dans la nuit. La route de Saint-Brieuc semble remplie d’ombres. Mais il n’y a plus personne sur la lande.
Le 23 juillet, à 23h, François Le Cornec, Lucien Dumais et cinq Anglais se faufilent dans « la maison d’Alphonse ». Mais un quart d’heure plus tard, une patrouille allemande mitraille et force la porte : un de ses hommes git, tordu de douleur, à la barrière ! Marie bouscule les pilotes jusqu’ au grenier. On hurle, on pousse Jean dehors, on hisse le blessé sur le lit, on court demander une charrette. Marie garrotte la plaie, surveillée par le planton. Un bruit au-dessus : des terroristes ! « Monsieur, Madame, bébé, kaputt… » menace-t-il. Marie, sans paraître s’émouvoir, continue les soins, sort la bouteille de calva pour les soldats qui reviennent, rassurés d’avoir trouvé une carriole si rapidement. La patrouille, le blessé, tout le monde s’en va enfin. Les pas s’éloignent. Silence.
Le mari a été laissé libre. Aussitôt, il fait descendre les cinq pilotes, les cache dans un champ de blé. L’opération Bonaparte réussit une fois de plus ; Londres exige le rapatriement de Jean le soir même. Marie, elle, son nourrisson sous le bras, déguerpit chez sa belle-mère. Au matin, la jeune mère trouve refuge six kilomètres plus loin, dans un grenier de ferme où s’entassent, parmi les sacs de vivres et d’armes largués lors des parachutages, la convoyeuse Marie-Thérèse Calvez, le patron local François Le Cornec, le radio Labrosse et le chef Dumais. Dix jours plus tard, un fermier la met au vert à Guingamp. Des mois plus tard, elle reverra son époux. « Ma fille fut considérée comme la plus jeune maquisarde de France » se souvient-elle avec humour…
A minuit, en effet, les Allemands étaient déjà revenus au logis des Gicquel, fouillant et mettant tout à bas. Dans l’après-midi du 24, « la maison d’Alphonse » est incendiée : elle ne pourra plus abriter quiconque. De singulières explosions renforcent les flammes : ce sont les armes des maquis, cachées là, qui explosent. Les ultimes opérations Bonaparte, jusqu’au 8 août 1944, se feront au départ de la fontaine de Kéruzeau.
Dès la Libération, les Alliés, qui se défiaient du caractère bavard des Français, tiendront à exprimer leur profonde et admirative reconnaissance aux Bretons de Plouha-Shelburn . L’histoire de la ligne d’évasion, très renseignée, tient évidemment au fait qu’elle ne connut aucun des drames propres à l’action clandestine : les différents protagonistes ont pu témoigner.
La chance, certes – comme on nettoyait la falaise Cochat, on trouva une tête de mine maintes fois piétinée : elle n’avait jamais explosé – mais la rigueur de Lucien Dumais, la prudence du radio Raymond Labrosse, le silence, la hardiesse, l’audace, le sang-froid, la détermination sans faille de tous ont eu raison des risques insensés, jamais décelés par l’occupant. Or, les jeunes aviateurs à évacuer, souvent immatures, impatients, étaient des hôtes encombrants, mettant involontairement en danger convoyeurs et hébergeurs. Quant à la fin de la « maison d’Alphonse », elle n’est pas due à l’imprudence d’un membre du réseau mais à un incident de patrouille. Exception qui confirme la règle ! Et qui donne au réseau Shelburn son halo de légende.
Anne Thoraval
https://www.youtube.com/watch?v=KSYUBOQZDaQ Le réseau Shelburn , témoignages de Lucien Dumais et Raymond Labrosse, Musée régimentaire Les fusiliers du Mont-Royal, archives de Radio-Canada.
youtube.com/watch?v=gVTGBLgMT1E Extraits de « Des Français parlent aux Français » 1943-1944.
http://asaapicardie3945.fr/index.php Association des Sauveteurs des Aviateurs Alliés (site en français et en anglais)
youtube.com/watch?v=X5B8z72fnSE Les Chemins de fer disparus, les économiques des Côtes du Nord, archives, vidéo de Raileuropexpress, 2008 (le GR 34 suit le tracé de la ligne).
Sources
Vincent Velut, Université Paul Valéry (Montpellier III) Master 1 Histoire militaire, études de Défense et politique de sécurité, Le Réseau Shelburn de mars 1943 à novembre 1944 , sous la direction de Jean-François Muracciole
A noter
Le sentier d’interprétation Shelburn, des vestiges de la « Maison d’Alphonse » au blockhaus de la Pointe de la Tour.
Adresse : 22580 Plouha
Téléphone : 02.96.65.32.53
Plage Bonaparte et stèle commémorative.
Adresse : Kéruzeau, 22580 Plouha. Un tunnel permet d’accéder à la plage.
Depuis Plouha prendre la D786 en direction de Plouézec sur environ 2 km puis prendre sur la droite en direction de Kerlévénez (panneau également pour la plage Bonaparte). On trouve un parking à proximité de la plage (à environ 2 km de l’intersection).
La Pointe de la Tour et son blockhaus.
Les passeurs de l’ombre, documentaire de Rolland Savidan et Roger Huguen, Cinémathèque de Bretagne, DVD.
Galerie photos du golf Gilles Boisgelin