Vues aériennes du golf de Rhuys-Kerver – Bretagne
VIDEO
Au bord du Golfe du Morbihan (Bretagne), le parcours de Rhuys-Kerver en vidéo aérienne.
Parcours du golf de Rhuys-Kerver – Le Golfe sauvage
Le paysage est sauvage, authentique. Sur la presqu’île de Rhuys, fermant au sud la baie de Quiberon et le Golfe du Morbihan, le parcours du Domaine de Kerver offre un dépaysement total au délicieux parfum de brises iodées provenant du port de pêche d’Arzon.
Dessiné par Olivier Brizon pour la communauté de communes de Vannes Agglomération, géré par Bluegreen, le parcours accueille naturellement les oiseaux de la réserve naturelle de Rhuys, toute proche. Le cordon dunaire sépare les vagues des fairways mais le « caractère » links du site imprime les swings au bord du Golfe…
Infos pratiques
Création : 1986
GPS
Green-fee (18 trous) : à partir de 41 €
18 trous
W 02°51’29’’
Voiturette : 32 €
6.016 m, par 72
N 47°31’37’
Fermé les 25 décembre et 1er janvier
Adresse : Domaine de Kerver, 56730 Saint-Gildas-de-Rhuys
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Mets et logis
Restaurants
Grand Largue
Une situation unique, avec vue imprenable sur l’entrée du Golfe du Morbihan, pour une cuisine tonique pleine de fraîcheur maritime dont son réputé ormeau de Roscoff.
Tarif : menu à partir de 29 €
Adresse : 1 rue du Phare, Port Navalo, 56640 Arzon
Téléphone : 02.97.53.71.58
Site Internet : grandlargue.fr
Le Mor Braz
Face à l’océan et tout proche du parcours, une adresse sans tapage pour une magnifique dégustation de fruits de mer avec un excellent rapport qualité/prix.
Tarif : menu à partir de 19 €
Adresse : 100 route du Rohu, 56730 Saint-Gildas-de-Rhuys
Téléphone : 02.97.45.21.47
Hôtels
Miramar La Cigale
Bordé par l’océan et entouré d’un lac marin, l’établissement vogue sur une architecture unique, celle d’un paquebot amarré avec ses passerelles et ses cabines orientées vers le large. Thalasso. Spa.
Tarif : chambre à partir de 180 €
Adresse : Port du Crouesti, route du Petit-Mont, 56640 Arzon
Téléphone : 02.97.53.49.13
Site Internet : miramar-lacigale.com
Glann Ar Mor
Un petit hôtel (avec 9 chambres) bien confortable dans un joli cadre, proche de la la plage, du sentier côtier et de l’embarcadère pour les îles du Golfe.
Tarif : chambre à partir de 68 €
Adresse : 27 rue des Fontaines, Port Navalo, 56640 Arzon
Téléphone : 02.97.53.88.30
Site Internet : glannarmor.fr
Incontournables
L’Ile aux Moines
La plus grande île du Golfe du Morbihan (7 km de long et 3,5 km de large) est préservée comme une perle, proposant une des nombreuses facettes de la riche Bretagne. L’enchevêtrement de petites maisons blanches de pêcheurs, les lacets de venelles fleuries débouchant sur un jardinet avec vue sur mer, donnent un caractère unique, bordé par de charmantes plages et criques. On y flane à pied ou à vélo afin de profiter des 14 km de sentiers balisés.
Traversée : depuis Arzon, 13,50 € aller-retour (enfant 4-12 ans, 7 €)
Adresse : Port Navalo, 56640 Arzon
Téléphone : 02.97.46.43.85
Site Internet : morbihan.com/ile-aux-moines
Vannes
La cité gallo-romaine Darioritum devient Vannes (en breton Gwened, la « blanche ») avec l’arrivée des Celtes, les Vénètes. Au fond du Golfe du Morbihan, à l’abri de ses imposants remparts, elle s’épanouit en devenant une des places importantes de la côte atlantique. Le riche commerce du port, les pouvoirs politiques et religieux s’illustrent avec des les maisons à pans de bois du 15ème siècle et des hôtels particuliers. Ce riche patrimoine a été préservé, devenant aussi le théâtre de grandes manifestations culturelles.
Adresse : Quai Eric-Tabarly, 56000 Vannes
Téléphone : 02.97.47.24.34
Site Internet : tourismebretagne.com
Denis Lebouvier
Hors limites
Visite de l’abbaye Saint-Gildas-de-Rhuys, 56730. A 800 m A/R du golf de Rhuys Kerver
Le mythe d’Héloïse et Abélard
Le cartographe Al-Idrîsî dresse en 1154 « la table de Roger », carte du monde connu : aux confins de l’Occident, la Bretagne y est pour la première fois représentée. « Les eaux de cette mer sont épaisses et de couleur sombre ; les vagues s’y élèvent de manière effrayante ; sa profondeur est considérable ; l’obscurité y règne continuellement. La navigation y est difficile, les vents impétueux, et du côté de l’Occident, les bornes en sont inconnues. » Ce bout du monde, l’illustre Pierre Abélard s’y installe, dans les années 1130, comme abbé de Saint-Gildas-de-Rhuys.
Abélard, père de la scolastique, coqueluche des étudiants du pays de France, gloire européenne de la pensée médiévale, premier penseur moderne. La bête noire de ses contradicteurs, ces vieux philosophes attachés aux seuls commentaires, quand lui, veut de « l’inspiration » , de la critique, de la logique en toute chose. La haine tenace des clercs n’aurait pas suffi, sans doute, au malheur irrémédiable. Celle d’un certain Fulbert, tuteur d’une belle Héloïse, va s’en charger. Que ne ferait pour sa nièce, ce riche marchand de Paris, avide de renommée flatteuse ! Avoir chez soi le plus grand intellectuel du temps, bien intéressé aussi par de substantiels émoluments, quelle aubaine ! Abélard, quant à lui, a déjà repéré, trottant dans les ruelles animées de l’île de la Cité, cette magnifique donzelle.
Le chaste pédagogue s’intéresse moins à distinguer Socrate de la « socratité » ; des passions nouvelles, bien éloignées des subtiles controverses, se font impérieuses. Oui, mais voilà, les dames de la haute noblesse ne fréquentent pas les écoles Notre-Dame, quant aux drôlesses, non, c’est trop de dégoût. Alors qui ? Héloïse, ce serait bien. Et quoi de plus simple ? La vanité du riche marchand, la réputation intacte du prestigieux professeur, la passion insatiable de la jeune fille pour le savoir concluent rapidement l’affaire : « Je prétendis que le soin d’un ménage nuisait à mes études et que la dépense en grevait le budget (…) La naïveté du vieillard me stupéfia » avouera Abélard dans Histoire de mes malheurs. Chez Fulbert, le voilà en effet maître de l’élève.
Coup de foudre d’Héloïse, enchantement d’Abélard. Ivresse de délices nouveaux, toujours renouvelés avec une certaine capacité d’invention. Le tuteur a bien recommandé de battre la pupille en cas de résistance à l’étude, il semble qu’Abélard use de la trique pour de tout autres raisons. L’heureux amant, hanté par ses désirs, à présent saisi d’ennui et de « fatigue intolérable » , néglige ses leçons : « Je me répétais » , le pire.
De la montagne Sainte-Geneviève à la Cité, tout le monde a compris, sauf, Fulbert, bien sûr. Mais « au bout de quelques mois », il les surprend. Honte, déshonneur, désespoir. Scandale… Indifférent aux amants qui ne songent qu’à se retrouver. Héloïse est enceinte ; Abélard l’enlève, la confie à sa sœur « jusqu’au jour où elle accoucha d’un garçon nommé Astrolabe . Sa fuite avait rendu Fulbert comme fou . ». Seul le mariage, secret pour ne pas nuire à sa renommée internationale, résoudrait la situation.
Mais la jeune mère l’assure : rien ne saurait apaiser la colère vengeresse de Fulbert. Et puis le mariage est-il vraiment digne de leur amour ? L’apôtre Paul l’a déconseillé. La conversation est vive : « Mais laissons là, disait encore Héloïse, l’obstacle que constitue la philosophie. Songe à la situation où te mettrait une alliance légitime : quel rapport entre les travaux de l’école et les soins d’un ménage, entre un pupitre et un berceau, un livre ou des tablettes et une quenouille, un stylet ou une plume et un fuseau ? Qui donc, en méditant l’écriture ou les problèmes de la philosophie, supporterait les vagissements d’un nouveau-né, les chansons de la nourrice qui le berce, la foule bruyante des serviteurs et des servantes, la malpropreté habituelle de l’enfance ? ». Pourtant, Héloïse s’incline, accablée, n’osant contrarier davantage son amant. A Paris, secrètement, ils se marient, en présence d’un Fulbert rasséréné, puis se séparent. Bien vite se répand le bruit de l’infâmante union. Héloïse, subissant désormais la violence de son oncle, se retire alors à l’abbaye d’Argenteuil. Or, les amants s’unissent de nouveau, une nuit, dans une chapelle ténébreuse.
Fulbert l’apprend. L’heure de sa vengeance a sonné et, pour Abélard, le temps de la détresse. Un serviteur, corrompu, livre passage, une nuit, aux sbires de l’oncle « dans la chambre retirée où je dormais, raconte Pierre, et ils me firent subir la vengeance la plus cruelle, la plus honteuse, et que l’univers apprit avec stupéfaction : ils m’amputèrent des parties du corps avec lesquelles j’avais commis le délit dont ils se plaignaient . ». Dès le matin, le tout- Paris des clercs et des étudiants se rue chez maître Pierre, l’accable de pleurs et d’indignations : « Je ne serais plus pour le monde qu’un monstrueux spectacle « , songe, amer, l’eunuque illustre, souffrant de la honte « plus que de la mutilation « .
Héloïse fait profession monastique ; Abélard prononce ses vœux à l’abbaye de Saint-Denis. Guéri de sa blessure, libéré de fait de la concupiscence, il reprend ses enseignements et ne songe plus qu’à penser. Partout, il soulève la controverse, partout, il insupporte, partout, il fascine. Lassé, attiré aussi par la solitude, il fonde un ermitage, le Paraclet, sur une terre déserte et pauvre du « territoire de Troyes ». Les étudiants s’y précipitent, se logent dans des huttes de fortune, ce qui attise encore la haine jalouse de ses pairs. C’est alors que des moines du lointain pays de Rhuys l’élisent abbé de Saint-Gildas.
Une promotion, certes. Le rang d’abbé permet la mise en ordre exigée par le pape Grégoire VII, épouvanté par la décadence des monastères. Ça s’annonce mal : « L’abbaye était située dans un endroit sauvage, dont la langue m’était inconnue ; les moines en étaient réputés pour leur inconduite et leur indiscipline ; la population passait pour grossière et brutale. Et là, devant les vagues mugissantes de l’océan, dans l’impossibilité de fuir plus loin, je répétais dans mes prières : « Des confins de la terre je crie vers vous Seigneur, dans l’angoisse de mon cœur . » »
Al-Idrîsî, reprenant des récits de voyageurs, confirme quelque vingt ans plus tard dans ses Itinéraires de la Bretagne la rudesse des lieux : « Les habitants y sont généralement ignorants, et la grossièreté de leur caractère est manifeste. Ces pays sont tous fertiles, luxuriants et le souci des affaires y est réduit. Comme ils sont baignés du côté du couchant par la mer Ténébreuse, il y arrive continuellement des brumes, des pluies, et le ciel y est toujours couvert, particulièrement au-dessus des localités littorales de cette mer . » De longues années le prestigieux dialecticien, dont chacun sait l’intime outrage, va vivre un calvaire.
Que ne se mêle-t-il du péché des autres lui qui ne peut plus rien de ce côté-là ? Qu’a-t-il à vouloir annoncer la vérité, lui que des évêques ont contesté ? Il se faisait grassement payer du temps de sa gloire : qu’a-t-il à exiger du seigneur – un tyran local- justice et respect des droits de l’abbaye ? Sans cesse, vol, pillage, menace, anarchie dans toute la contrée. Avec quelques compagnons, Pierre se réfugie dans un ermitage pour y mener une vie digne de l’état régulier. Mais lorsqu’il apprend que les moniales d’Argenteuil ont été chassées de leur couvent, il rejoint le Paraclet pour le confier à Héloïse et ses sœurs, seules dignes de ses soins. Il repart.
La douce pensée de ces moniales méritantes et pieuses ne peut cependant réconforter bien longtemps le fondateur : à Saint-Gildas, ses « fils » cherchent à l’assassiner. Luttant un jour contre des brigands qui l’ont assailli dans un chemin, Abélard tombe de cheval et se brise des vertèbres cervicales. Alité dans la sécurité relative d’un prieuré, « cette chute m’abattit moralement, dit-il, et m’affaiblit plus encore que mes souffrances antérieures . ». Il décide alors d’écrire Histoire de mes malheurs , sous la forme d’une lettre à un ami, en 1132.
S’agit-il d’une consolation destinée à réconforter le destinataire par le récit de malheurs plus grands que les siens ? Mais Pierre Abélard ne parle que de lui…et bien peu d’Héloïse. Auteur, il ne s’adresse d’ailleurs pas à elle, vertueuse abbesse du Paraclet. D’un plaidoyer du courage et de la sincérité dénonçant la cruelle perfidie des ennemis ? lui, le meilleur des fils, des maîtres, des amants, des moines, des pénitents ? L’univers entier le connaît – rappels complaisants- et peut pleurer à ses malheurs ici racontés. Mais l’univers entier se souvient aussi de ses insupportables prétentions. D’une protestation de soumission aux décrets de la justice divine ? Est-ce si sûr ?
Tandis que l’abbé de Saint-Gildas se morfond toujours dans son prieuré et ne songe plus qu’à fuir, « le hasard vient de faire passer entre mes mains, écrit Héloïse, la lettre de consolation que tu écrivis à un ami. Je reconnus aussitôt, à la suscription, qu’elle était de toi. Je me jetai sur elle et la dévorai avec toute l’ardeur de ma tendresse : puisque j’avais perdu la présence corporelle de celui qui l’avait écrite, du moins les mots ranimeraient un peu pour moi son image . » Et que fait-il aujourd’hui pour sa communauté ? Rien.
Mais surtout « ni le respect de Dieu, ni notre amour, ni les exemples des saints Pères n’ont pu te décider à soutenir, de vive voix ou par lettre, mon âme chancelante et sans cesse affligée de chagrin ! » à elle, son épouse. Son entrée dans les ordres ? Appelons un chat, un chat : par inconditionnelle soumission aux volontés de son amant : « Je n’ai pas à en attendre de récompense divine, puisque ce n’est pas l’amour de Dieu qui m’a poussée » assène-t-elle. Depuis sa venue au Paraclet, et la « conversation monastique », rien. Pendant toutes ces années, rien, toujours rien. Sait-il pourquoi ? pour ça : « C’est la concupiscence, plus qu’une affection véritable, qui t’a lié à moi, le goût du plaisir plutôt que l’amour. Du jour où ces voluptés te furent ravies, toutes les tendresses qu’elles t’avaient inspirées s’évanouirent » . Que ne l’aide-t-il, aussi, à aller vers Dieu. Ainsi tempête Héloïse, abbesse du Paraclet.
Les secours de sa tendresse ont manqué ? s’étonne Abélard, embarrassé et sincère tout à la fois. Aucune négligence de sa part, mais comment croire aux pauvre secours des mots, proteste l’auteur de la Lettre à un ami : Héloïse est admirable, diligente, avisée. Quelle sagesse, quelle piété par tous reconnues ! Mais il peut lui adresser son « aide doctrinale » et, sans plus tarder, lui envoyer un Psautier. Pour mieux s’unir à la communauté, pour mieux supporter les affres de l’angoisse, que les sœurs prononcent aux Heures une oraison particulière. Que l’on transfère sa dépouille au cimetière du Paraclet s’il périt, assassiné, à Saint-Gildas. Qu’ils s’abandonnent à la Providence et à la Justice divine.
Affolée, Héloïse répond, rongée d’angoisses, plongée dans une agonie morale pire que le trépas : qu’il prenne soin de sa vie ! Et puis, c’en est assez de ce mensonge auquel il veut croire : « On vante ma chasteté parce qu’on ignore à quel point je suis fausse (…) Ma dissimulation t’a longtemps trompé, comme tout le monde, et tu nommais piété mon hypocrisie . » Sa vie n’est qu’un supplice d’amour et de désir. Jour et nuit elle songe aux délices passés, aux extases charnelles : « Loin de gémir des fautes que j’ai commises, je pense en soupirant à celles que je ne peux plus commettre. Nos gestes ne sont pas seuls restés gravés profondément, avec ton image, dans mon souvenir ; mais les lieux, les heures qui en furent témoins, au point que je m’y retrouve avec toi, répétant ces gestes, et ne trouve même pas de repos dans mon lit. Parfois, les mouvements de mon corps trahissent les pensées de mon âme, des mots révélateurs m’échappent … »
Que faire de tels aveux, si brûlants, si inquiets, si profonds ? Dans sa réponse, Abélard entend conduire Héloïse au-delà du passé, la forcer au seuil de l’éternité, dès maintenant. Il achève cependant par cette supplication : « Tu nous as unis, puis séparés, ô Seigneur, quand il T’a plu et de la manière qu’il T’a plu. Ce que Ta miséricorde, Seigneur, a ainsi commencé, achève-le avec plus de miséricorde encore ; et ceux que Tu as, pour peu de temps séparés sur la terre, unis-les en Toi dans l’éternité du ciel, Toi notre espérance, notre attente, notre consolation, Seigneur béni dans tous les siècles. Amen « .
Y eut-il une troisième lettre d’Héloïse ? Nous ne le savons pas. Longtemps, l’authenticité de cette singulière et magnifique correspondance fut contestée. Sans doute l’Histoire de mes malheurs et les trois lettres ont-elles été rassemblées en un dossier avec quelques retouches possibles. Ces lamentations troubleront et inspireront Pétrarque, Villon, Rousseau, Lamartine, ou Brassens reprenant une ballade de François Villon citant les immortels héros.
Pierre le Vénérable, puissant abbé de Cluny, ouvrira les portes de son monastère à son ami Pierre Abélard, cet homme errant, acharné à la dispute théologique et philosophique, solitaire. Apaisé, Abélard meurt au prieuré de Saint-Marcel-lès-Chalon en 1142. Héloïse le rejoint vingt-deux ans plus tard, enterrée, selon son vœu, dans la tombe même de son amant, au Paraclet. On assure que les bras d’Abélard se sont alors ouvert, l’accueillant pour l’éternité.
Anne Thoraval
www.youtube.com Géographie d’al- Idrissi, Institut du Monde arabe, Vidéo 2014
francearchives.fr Héloïse du Paraclet ou d’Argenteuil
gallica.bnf.fr La correspondance d’Héloïse et Abélard, Blog de Gallica
www.youtube.com Georges Brassens, Ballade des dames du temps jadis, vidéo 2014
Sources
Lieutenant-colonel Laborde, Napoléon et sa garde, Paris, 1840
Friedrich-Ludwig von Waldburg-Truchsess, Nouvelle relation de l’itinéraire de Napoléon, de Fontainebleau à l’île d’Elbe, Pancouke, 1815
A noter
Abbatiale Saint-Gildas-de-Rhuys
Adresse : place Monseigneur-Ropert, 56730 Saint-Gildas-de-Rhuys
Site Internet : www.st-gildas-de-rhuys
Galerie photos du golf de Rhuys-Kerver