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Estolosa

Occitanie
Golf
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Vues aériennes du golf d’Estolosa – Occitanie

A l’est de Toulouse, le parcours d’Estolosa en vidéo aérienne.


Parcours du golf d’Estolosa – A l’est de Toulouse


Littéralement « à l’est de Toulouse » en occitan. Estolosa est bien nommé pour offrir, dans la grande agglomération toulousaine, des installations golfiques appréciées. Dans son domaine préservé, le parcours de 9 trous s’enfonce dans la forêt épaisse avant de grimper sur le plateau pour apprécier, à l’horizon, la chaîne des Pyrénées.

Sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, Estolosa dispose également d’un practice doté des dernières technologies, et d’un environnement propice aux séminaires les plus agréables au sein de son clubhouse à l’architecture lauragaise.

Infos pratiques


Création : 2000 GPS Green-fee (journalier) : à partir de 31 €
9 trous E 01°36’25’’ Voiturette (9 trous) : 25 €
2.225 m, par 34 N 43°34 11’’ Fermé les 25 décembre et 1er janvier
Téléphone : 05.62.18.84.00 Site Internet :  estolosa.fr
Adresse : Avenue du Lanta, 31280 Drémil-Lafarge
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Mets et logis

Restaurants

En Pleine Nature
Dans une ancienne maison toulousaine du XVIIIème siècle, le jeune chef Sylvain Joffre vous emmène selon ses envies, selon les saisons. Tablé étoilée.

Tarif : menu à partir de 31 €
Adresse : 6 place de la Mairie, 31130 Quint-Fonsegrives
Téléphone : 05.61.45.42.12
Site Internet : en-pleine-nature.com

Auberge de La Forge
Sur la place d’un petit village du Lauragais, un lieu de partage entre modernité et tradition proposé par deux passionnés du goût formés dans les plus prestigieux établissements.

Tarif : menu à partir de 26 €
Adresse : 8 rue Jean-Parisot, 31590 Lavalette
Téléphone : 05.61.84.76.00
Site Internet : laubergedelaforge.com

 

Hôtels

La Cour des Consuls

Une demeure historique au cœur du vieux Toulouse avec de magnifiques chambres. Le romantisme se niche dans cet espace luxueux. Restaurant gastronomique. Spa.

Tarif : chambre à partir de 195 €
Adresse : 46 rue des Couteliers, 31000 Toulouse
Téléphone : 05.67.16.19.99
Site Internet : la-cour-des-consuls-hotel

Le Clos du Loup

Un cocon douillet et tranquille, fort bien situé entre Toulouse et Albi, proche des meilleures adresses. Etablissement climatisé. Restaurant gastronomique.

Tarif : chambre à partir de 70 €
Adresse :
Route d’Albi, 31180 Rouffiac-Tolosan
Téléphone :
09.85.32.55.81

 

Prendre un verre

Chez Tonton
Au bord de la Garonne, le rendez-vous incontournable après un match (de rugby, s’il faut préciser) du Stade Toulousain. Grosse ambiance garantie. Une place fréquentée aussi par les étudiants chaque midi de la semaine pour le menu unique à petit prix.

Adresse : 16 place Saint-Pierre, 31000 Toulouse
Téléphone : 05.61.21.89.54


Incontournables

Le canal du Midi

Reliant Toulouse à la Méditerranée, le canal du Midi puise son eau dans la Garonne depuis les Ponts-Jumeaux pour traverser la Ville rose. Imaginé par Colbert, supervisé par Pierre-Paul Riquet, le très vaste chantier débuta en 1666 pour se terminer en 1681, sous le règne de Louis XIV. Sa construction bouleversa considérablement l’économie et la vie de la population occitane. Fréquenté dorénavant par les embarcations touristiques, le canal du Midi (avec ses 63 écluses) est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1996.

Site Internet : canal-du-midi.org

La Cité de l’Espace

Découvrir de vrais engins spatiaux, voyager aux confins du cosmos, admirer les trésors rapportés de l’espace, découvrir le parcours et la vie extraordinaire des astronautes, percer les secrets de l’environnement spatial, se permettre même de faire la pluie et le beau temps… Telles sont les expériences uniques proposées par la merveilleuse Cité de l’Espace de Toulouse, centre de culture scientifique, de découvertes astronomiques et astronautiques, ouvert en 1997.

Tarif : 21,50 € (réduit 6-18 ans, 16 €)
Adresse : Avenue Jean-Gonord, 31000 Toulouse
Téléphone :
05.67.22.23.24
Site Internet : cite-espace.com

Denis Lebouvier


Hors limites

Visite de la maison Seilhan et du couvent des Jacobins, 31000 Toulouse. A 17 km A/R du golf de Saint-Gabriel

Les heures effroyables de l’Inquisition à Toulouse

Pedro Berruguete avec son Autodafé présidé par Dominique de Guzman, peint en 1495, ancre l’Inquisition espagnole, nouvellement créée, dans l’œuvre de saint Dominique. Rappelons que le fondateur de l’ordre des Prêcheurs, opposé à la violence, n’est pas le créateur de l’Inquisition, comme on le croit très généralement. Il quitte Fanjeaux en 1217 pour Bologne, où il meurt en 1221. Mais au cours des siècles, les deux ordres mendiants fondés au XIIIème siècle, les Dominicains, et les Franciscains, deviennent le bras armé de la papauté. Dominique de Guzman et François d’Assise ont dû s’en retourner dans leurs tombes.

Les Cathares et les Vaudois, malgré la croisade des barons français depuis 1209, résistent, tenaces, dans le Languedoc. La mort, le 25 juin 1218, du sanguinaire Simon de Montfort – une plaque rappelle cet événement au jardin de Montoulieu -, la puissance retrouvée du comte de Toulouse amorcent le déclin des chevaliers croisés. En 1229, Louis IX s’allie au pape pour réduire définitivement les hérésies et faire plier la chevalerie d’Oc.

Le comte de Toulouse, Raymond VII, doit prêter main-forte à la répression. Il louvoie. Quant aux Dominicains, installés rue Saint-Rome, dans une maison devenue trop petite – cette même année s’ouvre le chantier du couvent des Jacobins (photo) -, ils deviennent fer de lance de la reconquête catholique, et ouvrent une première université. Mais rien n’y fait.

L’Inquisition pour le Midi de la France, tribunal ecclésiastique permanent, dégagé de tout droit féodal aux multiples usages, est alors créée par le pape Grégoire IX, en 1233. Au détriment des évêques, Rome confie aux Dominicains la répression des hérétiques dans le Lauragais. Les prêcheurs ne dépendent donc que du pape. Un an plus tard arrivent, du nord de la France, les premiers mandatés, qui s’installent dans la maison Seilhan, maison donnée à Dominique en 1215, devenue depuis lieu fondateur de l’ordre des frères Prêcheurs. Deux tribunaux fixes officient dès lors à Toulouse et Carcassonne, tandis que des inquisiteurs parcourent la région, menant leurs enquêtes.

Des troubles éclatent aussitôt : en mars 1234, les habitants se soulèvent, chassent d’Albi le cruel Ferrer, surnommé  » le marteau des hérétiques » (on devine la douce méthode… Torquemada, le fameux inquisiteur espagnol, héritera de ce joyeux surnom) et de Narbonne ce Cathala qui s’avisait de déterrer de paisibles morts dans les bourgs voisins. A Toulouse même, en octobre 1235, Guillaume Arnaud et Pierre Seilhan doivent quitter les lieux, tout comme les autres Dominicains, leur couvent des Jacobins.

Au nord de la France, la lutte contre l’hérésie semble plus aisée. Le Grand inquisiteur du royaume, Robert le Bougre, ancien cathare qui avait accédé au grade de Parfait, s’illustre par sa cruauté. On s’en émeut, on le dépose, on le condamne à la prison perpétuelle. Mais dans le sud, l’Inquisition toulousaine fédère la rébellion des nobles ruinés dans la confiscation de leurs biens, des paysans lésés dans leurs coutumes, des clercs parfois, démunis de leurs prérogatives. En 1237, Grégoire IX se voit contraint de la suspendre jusqu’en 1241.

Entretemps, la résistance a retrouvé espoir : aux enjeux religieux se mêlent des enjeux locaux entre inquisiteurs et faydits, ces chevaliers dépossédés et condamnés à l’errance. Rassemblés au château perché de Montségur, Pierre- Roger de Mirepoix à leur tête, tandis que Bons Hommes et Parfaites s’établissent dans l’inaccessible castrum, ils conduisent la lutte.

Cette guerre de conquête, et sa cruauté, si elle parvient à pousser des hérétiques dans les bras de l’Eglise, encourage au martyr les Cathares et révolte toujours davantage. Saint Louis peine de toute évidence à faire entrer les seigneuries du Languedoc dans le giron du royaume et les âmes dans celui de Rome. Le retour à Toulouse de Guillaume Arnaud, assisté du franciscain Etienne de Saint-Thibéry – Pierre Seilhan, honni des consuls toulousains, est affecté à Cahors – soulève de nouveau le Languedoc. Par ailleurs, ces riches territoires, à feu et à sang depuis bientôt vingt ans, aiguisent les appétits du roi d’Angleterre Henri III. Alliances, trahisons, compromissions se succèdent.

Raymond VII et Henri III fomentent alors un complot contre Louis IX, s’alliant avec le comte de Foix et les faydits de Montségur. On s’engage à livrer à Roger-Pierre de Mirepoix – il veut boire dans le crâne de Guillaume Arnaud le vin de la vengeance – Avignonet où siège, au château, un tribunal d’Inquisition nouvellement arrivé. Ses onze membres n’ont pas d’escorte. Pour les rudes faydit c’est un jeu d’enfant que de les massacrer dans la nuit du 28 au 29 mai 1242. Hélas, le crâne de l’inquisiteur, brisé d’un coup de hache, ne pourra servir de coupe au seigneur de Montségur. Courte déception digne des Vikings, bien vite oubliée dans l’euphorie de la victoire.

Exultation du martyre dans les rangs dominicains ; certains contestent cependant l’Inquisition, qui ne correspond pas au vœu de leur fondateur, et dont les excès répugnent de plus en plus. On espère resserrer les rangs à l’Ascension : les dépouilles sont ramenées à Toulouse et inhumées aux Cordeliers, dans le cloître de la cathédrale, ainsi qu’au couvent des Jacobins. En 1245, le pape, harcelé par ailleurs de plaintes venues de tous côtés, accèdera finalement à la requête de la congrégation qui, depuis deux ans, demandait d’être déchargée de l’Office.

Quant au complot de Raymond VII, il a fait long feu. Le château de Montségur, désigné « synagogue de Satan » par le concile de Béziers, est cette fois-ci assiégé par les cinq mille hommes du sénéchal de Carcassonne. La citadelle tombe le 12 mars 1244. Deux-cent vingt cathares, sans procès ni jugement, sont jetés dans les flammes du bûcher élevé au pied de l’éperon rocheux. Pierre-Roger de Mirepoix, abjurant, s’enfuit.

Les archives de Haute-Garonne conservent divers manuscrits des tribunaux de l’Inquisition à Toulouse après la chute de Montségur. En 1245-1246, les dominicains Bernard de Caux et Jean de Saint Pierre mènent les interrogatoires dans le cloître de Saint-Sernin, montrant ainsi l’abandon du périlleux tribunal itinérant. 55.000 dépositaires proviennent de 100 localités. Le registre des sentences révèle 206 condamnations, mais seules 23 peines à la prison perpétuelles sont connues. En 1256-1257, la peine du bûcher reste exceptionnelle. La croisade et la guerre ont été assurément plus meurtrières que l’Inquisition qui leur a été adjointe.

Alphonse de Poitiers, frère du roi et successeur de Raymond VII, apporte un clair soutien à la lutte contre l’hérésie, d’ailleurs agonisante. Il assure le fonctionnement du tribunal, le renforce de ses greffiers, pourvoie aux frais des prisonniers. A lui revient la gestion des encours, ces biens réclamés par les familles des condamnés ou leurs créanciers. La chose s’avère délicate dans le droit féodal. Mais les Dominicains, désormais dégagés de la tutelle du pape comme des évêques, sont devenus seuls pilotes de l’Inquisition en Europe, particulièrement contre les Vaudois. L’hérésie cathare disparaît finalement de l’histoire, contrairement à la vaudoise qui se reconnaîtra, pour partie, dans la Réforme protestante au XVIème siècle.

Anne Thoraval

https://francearchives.fr/fr/commemo/recueil-2015/39119 2015, Commémoration de la fondation de l’ordre des frères prêcheurs

www.youtube.com/watch?v=lHWmmBKZiY0 reconstitution en 3D du castrum de Montségur, vidéo de IZIgraphpatrimoine, 2015

Anne Thoraval

Source
Yves Dossat, L’inquisition toulousaine de 1243 à 1273, Revue d’histoire de l’Eglise de France, 1951

A noter


Maison de l’Inquisition
Adresse : 7, place du Parlement, 31000 Toulouse
Téléphone : 05.61.32.83.27
Site Internet : http://maison-de-l-inquisition

Le couvent des Jacobins
Adresse : Place des Jacobins, 31000 Toulouse
Téléphone : 05.61.22.23.82
Site Internet : www.jacobins.toulouse.fr


Galerie photos du golf d’Estolosa


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