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Cherbourg

Normandie
Golf
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Vues aériennes du golf de Cherbourg – Normandie

Au nord du Cotentin, face à la Manche, le golf de Cherbourg en vidéo aérienne.


Parcours du golf de Cherbourg – Au bout du monde


Tout au nord de la sublime presqu’île du Cotentin, dans le village de la Verrerie sur la commune de La Glacerie, le golf de Cherbourg domine la ville et la rade symbole des grandes migrations vers le Nouveau Monde, vers les Etats-Unis…

Sur un relief pratiquement plat, les 9 trous de Cherbourg sont marqués par des fairways étroits, bordés par des grands espaces boisés et ponctués par des petits greens bien défendus. Outre la splendeur de la région, c’est donc un beau challenge qui attend le visiteur, heureux de profiter de l’un des plus beaux 9 trous du pays.

Infos pratiques


Création : 1973 Slopes Green-fee : à partir de 25 € (9 trous), 35 € (18 trous)
9 trous 139 / 135 Pas de voiturette
2.890 m, par 36 127 / 125 Fermé les 25 décembre et 1er janvier
Téléphone : 02.33.44.45.78 Site Internet : golfdecherbourg.fr
Adresse : Domaine des Roches, village de la Verrerie, 50470 La Glacerie


Mets et logis

Restaurants

Le Pily
« Pi » comme Pierre en cuisine, « Ly » comme Lydie en salle… Un couple au top qui propose un menu « unique, créatif, inspiré par la mer », suivant la nature, les saisons et le travail des hommes. Table étoilée.

Tarif : menu à partir de 59 €
Adresse :
39 rue Grande Rue, 50100 Cherbourg
Téléphone :
02.33.10.19.29
Site Internet : restaurant-le-pily.com

Le Plouc 2
Une carte « semi-gastronomique », composée d’une cuisine française revisitée, pour un établissement qui jouit d’une belle réputation, dans un cadre chaleureux fort agréable.

Tarif : menu à partir de 22,90 €
Adresse :
59 rue Au Blé, 50100 Cherbourg
Téléphone :
02.33.01.06.46
Site Internet : restaurant-le-pily.com

Hôtels

Le Manoir de la Fieffe

Dans la campagne normande, sur les hauteurs de Cherbourg, des chambres d’hôtes et suites magnifiques dans une vénérable demeure du XVIème siècle. Passionné de botanique, le propriétaire partage sa passion des plantes.

Tarif : chambre à partir de 118 €
Adresse : La Fieffe, 50470 La Glacerie
Téléphone : 02.33.20.81.45
Site Internet : manoirdelafieffe.com


Mercure Cherbourg Centre Port
Au cœur de la ville, l’établissement**** offre une vue sur le port depuis ses chambres et son restaurant. Espace de fitness. Parking privé gratuit. Bornes pour voitures électriques.

Tarif : chambre à partir de 132 €
Adresse :
13 quai de l’Entrepôt, 50100 Cherbourg
Téléphone : 02.33.44.01.11
Site Internet : all.accor.com


Incontournables

La Cité de la Mer et La Hague


Plongez au cœur de l’océan à la Cité de la Mer à Cherbourg-en-Cotentin. Installée dans l’ancienne gare transatlantique de type Art-déco, découvrez ses espaces de visites : aquarium, sous-marin, engins de plongée en eau profonde, parcours virtuel au cœur des océans, sans oublier l’épopée du Titanic après son départ de Cherbourg. Dans La Hague, profitez d’un site unique en Normandie : le Planétarium Ludiver, pour une découverte ludique de l’espace et des planètes grâce à un parcours et des ateliers interactifs pour toute la famille.

Adresse : Office de Tourisme du Cotentin, 14 quai Alexandre III, 50100 Cherbourg
Téléphone : 02.33.93.52.02
Site Internet : encotentin.fr

 

L’Ile Tatihou
Petit bout de terre où se mêlent un patrimoine culturel exceptionnel et une nature préservée, Tatihou tient son joli nom des Vikings qui peuplèrent la Normandie. Port de départ des troupes de Guillaume Le Conquérant avant la conquête de l’Angleterre, Saint-Vaast est entré dans l’histoire lors de la bataille de La Hougue en 1692. Tatihou, véritable paradis ornithologique, se transforme en presqu’île à marée basse, toujours accessible en bateau amphibie. L’île est dominée par la tour Vauban et ses fortifications.

Adresse : Office de Tourisme, quai Vauban, 50550 Saint-Vaast-la-Hougue
Téléphone :
02.14.29.03.30
Site Internet : manche.fr/tatihou

Denis Lebouvier


Hors limites

Golf La Glacerie/ Maison natale du peintre Jean-François Millet Hameau Gruchy. 50 km A/R du golf de Cherbourg

Le « Naturalisme », né dans le Cotentin

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Le fondateur de l’Ecole de Barbizon naît et grandit dans un bout du monde. Dans cette vallée du Cotentin, ce hameau de Gruchy retiré entre terre et mer, tout est loin : l’Empire, la guerre, Paris. Seuls les souvenirs de la Grande Révolution, les joies austères de cette famille de laboureurs catholiques et pieux, l’amour profond de la nature veillent sur Jean-François Millet. Le garçonnet aime suivre son père – chantre à la paroisse de Gréville- dans les replis sablonneux des sentiers solitaires et venteux, s’exalter du large, admirer un brin d’herbe. Le grand-oncle Charles, vicaire d’Euleville, est venu là, se cacher, pendant la Terreur. Dans les champs paisibles, avec son grand chapeau, il lit son bréviaire.

Les cloches, après la tourmente révolutionnaire, enfin, se sont remises à sonner. L’angélus se mêle aux cris des mouettes, aux broiements des meules, aux crépitements des feux, aux cliquetis légers des fileuses. Les ramasseurs de varechs peinent dans les raidillons ; sur les pentes, la terre est dure à cultiver. C’est le soir. Souvent Louise, la bien-aimée grand-mère, ouvre sa porte à un pauvre de passage, ou à un colporteur. On raconte des choses à la veillée ; on parle aussi de physique et de chimie, de Montaigne, des auteurs classiques. Car la famille Millet chérit la culture autant que la foi et la nature.

Ainsi, lorsqu’à douze ans le futur peintre découvre la poésie de Virgile, c’est un enchantement. Le jeune paysan, qui œuvre aux travaux de la ferme, dévore aussi tous les livres, en toute liberté : saint Augustin, Fénelon et, bientôt, est bouleversé par des gravures illustrant les bibles familiales. A dix-huit ans, premiers dessins remarqués. Paysages, naufrages, et ce croquis d’un vieillard qui marche, curieusement saisi, comme en raccourci.

En septembre 1835, son père, toujours attentif et bienveillant, l’envoie alors à Cherbourg, la grande ville voisine, auprès de Mouchel, disciple de David : « Agissez à votre fantaisie et allez au musée« , conseille le maître. En cette année, en effet, le marchand d’art Thomas Hardy a légué ses 163 œuvres à la capitale du Cotentin, soucieux d’offrir à sa jeunesse la découverte de l’art. Dans ce tout nouveau musée des Beaux-Arts, Jean-François copie désormais primitifs italiens ou classiques français, s’initiant ainsi auprès des plus grands artistes et se laissant surtout conquérir par cette révélation de la peinture. La très riche collection Hardy et celle du fonds Millet font de ce « petit Louvre » un des plus importants musées de Normandie.

Mais la mort brutale de son père, le 29 novembre, contraint le jeune homme à rejoindre au plus vite les siens. A lui de prendre la tête de la famille ! Les deux veuves de la ferme, sa grand-mère et sa mère, ne peuvent faire face au surcroît de tâches. Or, rongé par sa passion de peindre, Jean-François ne saurait se laisser confiner dans ce vallon solitaire, dévolu uniquement aux rudes travaux paysans. Il part de nouveau pour Cherbourg, bien décidé à vivre de son art, et l’apprendre davantage à l’école de Langlois.

Copies au musée de Cherbourg, travail en atelier, lectures hétéroclites– des almanachs illustrés à Homère- , découvertes passionnées des romantiques François-René de Chateaubriand et Victor Hugo et premières commandes de portraits par de riches cherbourgeois. On s’émeut : la Manche aurait-elle son génie ? A l’été 1836, Langlois convainc la municipalité de verser une pension à ce peintre si prometteur. A l’Ecole des Beaux-Arts, le très conventionnel Paul Delaroche saura bien dompter les fougues du portraitiste. Voilà Millet parti pour Paris, « musée de toutes les grandes choses« . Il lui a fallu s’arracher aux pleurs des deux veuves, aux réticences de ses frères, au puits de la ferme, à la chère église du hameau, à Gruchy « mon endroit » aimera-t-il à dire toute sa vie.

Un jour glacial et enneigé de janvier 1837, c’est un « homme des bois » qui arrive au célèbre atelier parisien. Ouvert depuis deux ans, on se bouscule chez cet ancien élève de Gros. On y mène de joyeux chahuts, peu appréciés de la police. L’un d’eux tournera au drame : en 1842, un élève meurt au cours d’un de ces bizutages. Paul Delaroche ferme alors son académie et rejoint la Suisse.

Jean-François Millet, lui, supporte mal cette étrange société, souvent bruyante et indisciplinée. Plus encore, il répugne à aliéner ses aspirations profondes : peindre la vie en vrai. Les plus humbles, les choses simples, les bêtes, les chemins, les maisons, les églises. Au grand dam de son mentor Legrand et des bourgeois de Cherbourg, il quitte donc l’Académie des Beaux-Arts dès 1841. Un amateur éclairé, Marolle, pressent cependant le génie propre de ce taciturne normand.

Millet s’installera-t-il alors définitivement à Gruchy ? Il épouse Pauline, fille de la respectable famille Ono, opposée à cette union. La municipalité, indignée des libertés du peintre, suspend le versement de sa pension. A Cherbourg, ce ne sont que critiques et railleries. Voilà l’artiste réduit à portraiturer sa belle-famille sans signer ses œuvres et à exécuter des pastiches pour gagner chichement sa vie.

Le jeune couple, désargenté, s’installe à Paris, rue Princesse pour y mener une vie de misère. Atteinte de tuberculose, la maladie du siècle. Pauline meurt. Jean-François peint. L’ami Marolle ajoute autant qu’il peut aux maigres finances. L’exposition, au Salon de 1844, de La laitière et de La leçon d’équitation, flatte les notables cherbourgeois qui s’empressent de passer commande à la gloire montante du Cotentin. Le portrait d’Antoinette Fuardent remporte tous les suffrages. Mais l’artiste refuse le poste de professeur qui lui assurerait une sécurité financière : liberté pour sa peinture avant tout !

Le vanneur, en 1848, lui assure une renommée de scandale : « sculpteur de la grossièreté » s’indigne la presse ! « Peintre en sabots » se définit Millet ! Avec cette toile représentant un paysan et son panier, Millet vient de lancer le naturalisme en peinture. Son indépendance, sa liaison avec sa servante Catherine Lemaire le rendent odieux à tous. Il quitte Gruchy, ignorant alors qu’il ne reverra plus ni sa mère ni sa grand-mère.

Désormais réfugié à Barbizon, hameau perdu en lisière de la forêt de Fontainebleau, Millet se consacre entièrement à son art. Soutenu par le fidèle Marolle, par le marchand Durand-Ruel, par les « peintres de Barbizon », par Alfred Sensier qui écrira sa première biographie. Refusant toute exposition, farouche et solitaire, « il habite les champs et peint les mémoires de son âme« , selon la belle formule d’Alexandre Dumas admirant L’Angélus ou Les Glaneuses. Mais aussi la dure vie des humbles, loin de tout pittoresque et de tout misérabilisme. La figure du paysan, méprisée des siècles durant, trouve l’expression de son universelle dignité.

Jean-François Millet meurt à Barbizon le 20 janvier 1875. « Le peintre en sabot » a revu son cher Gruchy quelque cinq ans plus tôt, lors d’un court séjour. Il y peint alors ces bords de mer, bercé par le rythme pur du ressac, attiré par le large, l’espace, l’infini, enchanté du jeu des mouettes et du vent.

Anne Thoraval

parismuseescollections  Atelier de Paul Delaroche, gravure sur bois, Musée Carnavalet, Paris
youtube.com La peinture de Millet. Le peintre des paysans. Sous la Toile, 2020
youtube.com Barbizon, Visite privée, France 2, 2016

A noter


Balades à partir du Hameau Gruchy
Adresse :
10 place Napoléon 50 108 Cherbourg-en-Cotentin
Téléphone :
02 33 08 26 00
Site Internet :  komoot.fr

Maison natale de Jean-François Millet
Adresse :
19 Hameau Gruchy 50440 Gréville-Hague
Téléphone :
02 33 01 81 91
Site Internet :  maison-natale-jean-francois-millet

Musée d’Histoire de la ville
Adresse :
10 place Napoléon 50 108 Cherbourg-en-Cotentin
Téléphone :
02 33 08 26 00
Site Internet :  musees-normandie.fr


Galerie photos du golf de Cherbourg


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