Vues aériennes du golf de Beauvallon – PACA
VIDEO
Dominant le Golfe de Saint-Tropez, le parcours de Beauvallon en vidéo aérienne.
Parcours du golf de Beauvallon – Balcon sur Saint-Tropez
Le site est historique, témoin des tout débuts de l’art de vivre balnéaire au bord de la Méditerranée. Né sur une colline, le domaine de Beauvallon est d’abord marqué par la vision des frères Bernheim, fondateurs d’un 9 trous puis d’un grand hôtel entre 1911 et 1914.
Résidence notamment du sultan du Maroc (futur roi Mohammed V) durant ses 21 ans d’exil, de Colette ou d’Audrey Hepburn, le dernier palace Belle Epoque entre Cannes et Marseille peut proposer un magnifique parcours de 18 trous (finalisé en 1923), bénéficiant de ce panorama exceptionnel face à Saint-Tropez.
Infos pratiques
Création : 1923
GPS
Green-fee (18 trous) : à partir de 80 €
18 trous
E 06°36’11’’
Voiturette : 40 €
5.570 m, par 70
N 43°17’29’’
ouvert toute l’année
Adresse : Boulevard des Collines, 93310 Grimaud
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Mets et logis
Restaurants
La Vague d’Or
Récompensée par trois étoiles au guide Michelin, cinq toques et 19/20 au Gault & Millau, la Vague d’Or s’éveille à la nuit tombée sur une symphonie de saveurs parcourant la Provence.
Tarif : menu à partir de 305 €
Adresse : Plage de la Bouillabaisse, 83990 Saint-Tropez
Téléphone : 04.94.55.91.00
Site Internet : la-vague-d-or-st-tropez
La Badiane
Cuisine du marché créative avec de très belles spécialités « végétariennes » autour aussi de forts jolis plats de viandes et de poissons. Goeffrey Poësson a débuté comme chef pâtissier aux Etats-Unis et à Monaco.
Tarif : menu à partir de 65 €
Adresse : 6 rue Fernand Bessy, 83120 Sainte-Maxime
Téléphone : 04.94.96.53.93
Site Internet : restaurant-la-badiane.fr
Hôtels
Pan Deï Palais
Tout évoque ici un voyage aux confins de l’Inde. L’ocre et le rouge rappellent l’histoire mythique de la demeure Relais & Châteaux , celle du Général Allard et de la Princesse Bannu Pan Deï. Restaurant gastronomique. (ouverture au printemps).
Tarif : chambre à partir de 440 €
Adresse : 52 rue Gambetta, 83990 Saint-Tropez
Téléphone : 04.94.17.71.71
Site Internet : pandei.com
Villa des Anges
Style hacienda pour une déco (là encore) atypique, avec des chambres aménagées selon une thématique particulière. Certaines ont une vue sur Golfe et la plage à 50m. Piscine.
Tarifs : chambre à partir de 60 €
Adresse : D559, 83120 Sainte-Maxime
Téléphone : 04.94.96.29.10
Site Internet : hotelvilladesanges.fr
Incontournable
Saint-Tropez
Cité corsaire au XVIème siècle, modeste port de pêcheurs au début du XXème siècle, la première commune libérée lors du Débarquement de Provence est évidemment devenue, depuis les années 1950, le repaire bruyant de la jet-set démonstrative. A l’image de son égérie Brigitte Bardot. Saint-Trop’ ne se visite pas seulement pour admirer les incroyables yachts agglutinés sur le petit quai. La Citadelle (âgée de 400 ans), le musée de l’Annonciade (avec ses tableaux) ou la Maison des Papillons du photographe J.-H. Lartigue méritent le détour culturel…
Site Internet : sainttropeztourisme.com
Denis Lebouvier
Hors limites
Visite de 83990 Saint-Tropez, 24 km A/R du golf de Beauvallon. Visite de 83700 Saint-Raphaël, 55 km A/R du golf de Beauvallon
La longue « descente » vers l’Ile d’Elbe
La citadelle de Saint-Tropez.
La campagne de France de 1814 s’achève, désastreuse. A la mi-avril, retiré au château de Fontainebleau, l’empereur Napoléon « seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, fidèle à son serment, déclare qu’il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d’Italie, et qu’il n’est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu’il ne soit prêt à faire à l’intérêt de la France « . L’acte d’abdication est affiché dès le lendemain sur les murs de la capitale occupée. C’est la fin de l’Empire, le retour des Bourbons sur le trône, « dans les fourgons de l’étranger ».
Sa majesté doit quitter la France pour une île de la Méditerranée. Laquelle ? L’île d’Elbe, selon le tsar Alexandre qui, depuis le 5 en soutient l’intérêt : ni française, ni conquise. Mais trop proche des côtes soufflent les Anglais. On traine, on hésite. Napoléon s’inquiète. Le pousse-t-on au suicide ? Sa vie est-elle menacée ? Car on tergiverse encore. Mais Alexandre ne peut se dédire. Le 8, arborant fièrement la cocarde tricolore, un détachement de la Garde, conduit par le général Cambronne, part préparer l’exil de Napoléon et sauvegarder son « trésor ». A Orléans « où était remisé le fourgon qui avait pu être sauvé (…) huit millions seulement » sont retrouvés et aussitôt placés sous bonne garde. Or les autorités de la ville, royalistes, refusant toute présence séditieuse, contraignent la petite troupe à bivouaquer dans les villages alentours.
Le 11, le Traité de Fontainebleau enfin signé, l’article III stipule : « L’île d’Elbe, adoptée par S.M l’empereur Napoléon pour lieu de son séjour, formera, sa vie durant, une principauté séparée qui sera possédée par lui en toute souveraineté et propriété . » L’article XV prévoit même que « La garde impériale française fournira un détachement de douze à quinze cents hommes pour servir d’escorte jusqu’à Saint-Tropez, lieu d’embarquement . » Il faut bien compter une semaine de voyage. Malgré son isolement du côté des terres – le massif des Maures est presque infranchissable – c’est un port de commerce important, le seul entre Toulon et Antibes, et pourvu d’une solide forteresse : des troupes pourront veiller au départ de l’Ogre enfin terrassé.
Le 16, les quatre émissaires des puissances alliées chargés d’accompagner Napoléon jusqu’à Saint-Tropez arrivent à Fontainebleau. « Il nous était particulièrement recommandé de lui donner le titre d’Empereur, et de lui rendre tous les honneurs dus à son rang . » souligne le prussien Waldburg-Truchsess. On doit partir dès le lendemain, par la route d’Auxerre, Lyon, Grenoble, Gap et Digne. Napoléon préfère celui de Briare, Roanne, Lyon, Valence et Avignon : la route est meilleure et sa garde, partie pour Orléans il y a huit jours déjà, l’attend à Briare avec ses bagages. Il doit y changer de voiture. Il exige un « ordre direct pour le gouverneur de l’île d’Elbe (…) ne voulant pas prendre le risque de n’être pas reçu . »
Dans la nuit du 17 au 18, l’autorisation du nouveau parcours est accordée et le comte Bertrand, le 19, peut rassurer Caulaincourt : « l’inspecteur des Postes est parti pour organiser les relais « . Caulaincourt, sûr de la loyauté de Cambronne, se ronge : « Son voyage me causait toujours de vives inquiétudes. Tous les retards qu’on lui avait fait éprouver me faisaient craindre qu’on eût organisé quelque émeute dans le Midi ou réuni quelques bandes pour l’inquiéter . » Dans la nuit, cent voitures chargées de tableaux, bronzes, meubles, vaisselles s’ébranlent. Pour le comte Waldburg-Truchsess, ce hâtif rassemblement de richesses est la cause probable du retard. On doit partir le lendemain.
Au matin du 20, Napoléon menace de ne pas quitter Fontainebleau : pourquoi l’impératrice Marie-Louise ne le rejoint-elle pas ? Son père, l’empereur d’Autriche, veut la séparer de lui, la contraindre à divorcer même ! Et leur fils ? Il vitupère contre le roi de Prusse, le tsar Alexandre, se perd dans des souvenirs, rumine des rancœurs, redoute d’être repoussé de l ’île d’Elbe.
Le général Koller le rassure – il pourrait, en ce cas, compter sur l’Angleterre- et lui rappelle surtout les obligations du Traité de Fontainebleau. Un dernier billet est adressé à Caulaincourt : « Monsieur le duc de Vicence, je pars pour aller coucher ce soir à Briare d’où je partirai demain matin pour ne plus m’arrêter qu’à Saint-Tropez. Je conserve le souvenir de toutes les preuves d’attachement que vous m’avez données ces derniers temps, et je vous en remercie . »
A la mi-journée, Napoléon, en uniforme de colonel de la Garde, paraît en haut de l’escalier de la cour d’honneur. Se déroulent les fameux adieux, qui de l’aveu même des officiers alliés, émurent tout le monde. Aux grilles du château, une foule se pressait, criant Vive l’Empereur ! Les quatorze voitures du convoi impérial s’ébranlent sur la route de l’exil. En tête, le général Drouot, puis l’empereur et le grand maréchal Bertrand, enfin les quatre calèches des commissaires alliés : le général autrichien Koller, le général russe Schuwaloff, le colonel anglais Campbell, le comte prussien Waldberg-Truchsess, qui écrira une précieuse relation de cet historique voyage dès 1815.
Partout l’escorte étrangère est huée, Napoléon, acclamé. Vers dix-huit heures, Briare. A l’aube, l’expédition repart : « Ce jour-là, nous allâmes jusqu’à Nevers ; l’accueil qu’on nous fit en cet endroit fut le même qui nous avait été fait dans les villes précédentes ; on jurait après nous, on nous adressait mille invectives sous nos fenêtres, tandis qu’au contraire on ne lassait pas de crier Vive l’Empereur ! ».
Les Autrichiens se font discrets et se retirent dans les granges pour laisser leurs logements aux chasseurs de la Garde, efficacement devancés par un officier hongrois. Troupes étrangères et milices royalistes à la cocarde blanche sillonnent le territoire. Où iront les préférences des bourgs et campagnes traversés : on sait Louis XVIII devenu roi de France. A Villeneuve-sur-Allier, les derniers détachements français quittent le convoi. Seuls des Cosaques, redoutés, et des Autrichiens font escortent. « Les cris Vive l’empereur cessèrent dès que les troupes françaises ne furent plus avec nous. A Moulins, nous vîmes les premières cocardes blanches et les habitants nous reçurent aux cris de Vivent les alliés ! » remarque cette fois Waldburg-Truchsess.
A Lyon, des cris hostiles à l’empire s’élèvent place Bellecour, ont menacé l’avant-garde de Cambronne : « A bas la cocarde tricolore ! « . Tout est rentré dans l’ordre cependant. Napoléon traverse Lyon, le lendemain, dans le silence de la nuit percé de rares ovations. A Valence, le général Augereau a proclamé son ralliement à Louis XVIII. Ses troupes, arborant la cocarde royaliste, conspuent les alliés et saluent l’empereur. « Mais, constate le comte, ce fut là son dernier triomphe, car nulle part ailleurs il n’entendit plus de vivat. Le 25, nous arrivâmes à Orange ; nous fûmes reçus aux cris de Vive le Roi ! Vive Louis XVIII ! « . A proximité d’Avignon, au relai, la voiture est cernée. On gronde, on insulte. Que le cocher crie Vive le Roi ! L’homme refuse, on craint pour sa vie, on repousse un sabre vengeur. Sitôt attelés, les chevaux démarrent en trombe. A Orgon, « la rage du peuple était à son comble « . Suspendu devant l’auberge, un mannequin revêtu d’un uniforme français et badigeonné de sang, porte un écriteau menaçant : « Tel sera tôt ou tard le sort du tyran. » Tandis que Napoléon, épouvanté, se terre derrière le général Bertrand, le commissaire Schuwaloff exhorte les thuriféraires, encourage au digne mépris d’un homme vaincu, en appelle à la générosité du peuple français. On se fraye un chemin au travers de la foule plus clairsemée.
« A un quart de lieue en deçà d’Orgon « , Napoléon décide de se faire passer pour un courrier, affuble son chapeau rond d’une cocarde blanche, enfourche un cheval de poste, et se lance en avant de la route. Ce déguisement est l’unique moyen, selon lui, d’échapper à la populace. De fait, sa voiture est sans cesse assaillie et seules ses solides portières empêchent l’intrusion des femmes, plus particulièrement rageuses. Le général Bertrand, pris pour l’empereur essuie tous les horions.
A Saint-Canal, les commissaires, devancés, ne trouvent aucune trace de l’empereur : ni estafette, ni fourgon. Enfin, » à une demi-lieue « , ils le surprennent à La Calade, auberge sur la grand-route. Tous ses gens sont munis de cocardes blanches « dont ils paraissaient s’être munis à l’avance « , note finement l’officier prussien. Lui, « ci-devant citoyen du monde » s’est retiré, seul, dans une chambre et verse des larmes amères. Qu’on vienne l’y voir de temps à autre et qu’on l’appelle lord Burghersh ainsi nul ne soupçonnera sa présence. L’hôtesse d’ailleurs ne l’a toujours pas reconnu, traitant ce Bonaparte de « coquin » et espérant bien qu’on le noiera dans la mer. Le major Campbell doit tenir le rôle de l’empereur Napoléon jusqu’à la Méditerranée, exige le conscrit épouvanté. Las ! Campbell est en route pour Toulon d’où il doit organiser l’appareillage des navires pour Saint-Tropez.
Mais on s’attroupe autour de La Calade, bien convaincus que ce cet inhabituel concours de cavaliers et de voitures concerne le « tyran » condamné à l’exil. A Aix-en-Provence, les esprits s’échauffent. Rapidement averti, le maire assure de la tranquillité de sa ville. On part à minuit, Napoléon déguisé cette fois en colonel autrichien, le général Koller lui ayant aimablement remis son uniforme. Pour plus de sécurité, le fugitif se drape dans l’ample manteau de Schuwaloff. La traversée d’Aix se fait sans encombre. Mais Napoléon, inquiet, se dissimulant dans la voiture du général Koller, invite le cocher à fumer et l’officier autrichien à siffler, ces deux artifices lui paraissant gages de protection : « C’est ainsi qu’il poursuivit sa route, caché dans un des coins de la calèche, faisant semblant de dormir, bercé par l’agréable musique du général et encensé par la fumée du cocher » raille le comte Waldburg-Truchsess.
Enfin voici, le 26, au Cannet-du-Luc, le château de Bouillidou, demeure de Pauline Borghèse. Mais la princesse refuse d’embrasser son frère affublé de cet uniforme étranger, de cette cocarde blanche ! Epuisé, meurtri, Napoléon trouve quelque réconfort. Ce sera sa dernière nuit sur le territoire français. Un sérieux contretemps contrarie le général Schuwaloff : pour rallier le lieu d’embarquement, il faut grimper la butte de la Garde-Freinet, puis … »aucun chemin pour arriver à Saint-Tropez sinon à cheval ou sur des mulets (…) il est pratiquement impossible qu’aucune voiture y passe. » lancent les estafettes essoufflées de leur reconnaissance. L’Etat-Major allié n’a donc pas consulté la carte des itinéraires de France établie par Dezauche en 1798 : aucune route ne relie en effet ces deux bourgs provençaux.
Le commissaire russe dépêche à Saint-Tropez un courrier pour alerter le colonel Campbell : la corvette française La Dryade et la frégate anglaise L’Intrépide doivent rallier Fréjus de toute urgence. Mais le major est à Aix et, ce 27, la frégate jette l’ancre à Saint-Tropez ! Une chaloupe française s’approche : l’empereur doit monter à bord de La Dryade , selon les ordres du gouvernement provisoire de sa majesté Louis XVIII ! Même pour l’Usurpateur, le royaume n’est tout de même pas à la botte des alliés. De la citadelle, on a compris la situation. On envoie une chaloupe autrichienne : l’empereur et toute son escorte embarqueront à Fréjus. Le port de Saint-Raphaël ! Là même, ou en 1799, le général Bonaparte se lançait à l’assaut du pouvoir ! Ca suffit, qu’il parte, qu’il embarque le seigneur de l’île d’Elbe !
Réconforté par Pauline, rassuré de la solide escorte, soulagé aussi du proche départ, Napoléon part à l’aube, cette fois revêtu de son uniforme et sans cocarde blanche. Quittant la route des Maures, il parvient sans encombre à Fréjus vers onze heures. La colonne de bagages est arrivée : la traversée d’Avignon fut difficile ! Le colonel Campbell accueille son hôte fameux à l’auberge du Chapeau rouge (actuel hôtel Aréna) et le rassure : la frégate du capitaine Asher veillera à la sécurité de la traversée. Mais où est La Dryade ? Toujours à Saint-Tropez. Le traité prévoyait pourtant une corvette française à trois ponts pour la traversée de Sa Majesté. Seul L’Inconstant , « vieux brick pourri à bord duquel il serait au-dessous de ma dignité de monter » tonne l’empereur, mouille dans la baie de Saint-Raphaël. Ce sera donc à bord de L’Intrépide anglais que Napoléon s’embarquera pour l’île d’Elbe. Furieux et dépité, le capitaine de L’Inconstant regagne Toulon.
Ce 27 avril, l’embarquement, prévu à neuf heures, est reporté à vingt et une heures : Sa Majesté a été la proie d’un malaise. « Les hussards autrichiens l’accompagnèrent jusqu’au port de Saint-Raphaël, le même où il avait abordé, quatorze ans auparavant, à son retour d’Egypte. Il fut reçu avec les honneurs militaires » mais les vingt-quatre coups de canon tirés honorent les commissaires Koller et Schuwaloff , escortant l’empereur jusqu’à l’île d’Elbe. Afin qu’aucun incident supplémentaire ne retarde le départ, on persuade le capitaine Asher de ne pas détromper « Buonaparte », persuadé que cette salve salue sa présence sur L’Intrépide.
« Deux heures après la frégate cingla. » Le comte Waldberg-Truchsess reste un temps sur le môle. La nuit tombe. Dès demain, il prendra la route de Paris. Le 1er mars 1815, Napoléon, échappé de l’île d’Elbe, débarque à Vallauris pour le « vol de l’Aigle ». Quatre mois plus tard, la défaite de Waterloo met un terme définitif à l’empire. Napoléon Bonaparte est cette fois-ci exilé à Sainte-Hélène, île perdue de l’Atlantique sud d’où toute évasion est impossible.
Anne Thoraval
https://www.youtube.com/watch?v=xS1tEUhjNWc Bicentenaire des Adieux de Fontainebleau, reconstitution, Château de Fontainebleau, vidéo You Tube, 22 avril 2014
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b531001449/f1.item.zoom Carte itinéraires de la France donnant toutes les Routes de Postes, les lieux de Relais… Dezauche, 1798
https://www.youtube.com/watch?v=RNvK4dgVJnQ Elbe, l’exil de Napoléon, Des Racines et des Ailes, vidéo You Tube, 2019
Sources
Lieutenant-colonel Laborde, Napoléon et sa garde, Paris, 1840
Friedrich-Ludwig von Waldburg-Truchsess, Nouvelle relation de l’itinéraire de Napoléon, de Fontainebleau à l’ile d’Elbe, Pancouke, 1815
A noter
Musée de l’histoire maritime
Adresse : Citadelle de Saint-Tropez, 83990 Saint-Tropez
Téléphone : 04.94.97.59.43
Site Internet : www.le-musee-de-l-histoire-maritime
Hôtel Aréna
Adresse : 145 rue du Général-de-Gaulle, 83600 Fréjus
Vieux Port de Saint-Raphaël, stèle commémorative
Adresse : quai Amiral-Nomy, 83700 Saint-Raphaël
Site Internet : www.le-vieux-port-de-saint-raphael
Galerie photos du golf de Beauvallon